Jean Paul Riopelle Canadien, 1923-2002
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Le Chien, 1972
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Le Coq, 1972
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Teddy, 1972
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Turnbull, 1972
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Hibou X, 1970
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Affiche Galerie Maeght II, 1974
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Hibou VIII, 1970
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Épinette, 1972 Vendu
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Feu de forêt, 1972 Vendu
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L'Indien, 1972 Reserved
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Métamorphose, 1972 Vendu
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Feuilles VI, 1967 Vendu
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Jute III, 1967 Vendu
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Sphinx, 1967 Vendu
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Abstraction, 1955 Vendu
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Album 67 #1, 1967 Vendu
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Quien-Toi Bien (Série Dommage), 1989 Vendu
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Scout, 1981 Vendu
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Suite à l'Année Verte, 1972 Vendu
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Suite Caribou, 1972 Vendu
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Suite Fancy, 1972 Vendu
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Suite Générale, 1972 Vendu
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Suite Guerrière, 1972 Reserved
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Suite Lac Aux Puants, 1972 Vendu
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Suite Lachaudière, 1972 Vendu
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Suite Lachaudière, 1972 Vendu
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Suite Poursuite, 1972 Vendu
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Suite Tabou, 1972 Vendu
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Tanlay festival, 1989 Vendu
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Tanlay festival, 1989 Vendu
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Triptyque Orange, 1967 Vendu
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Tryptique Gris, 1967 Vendu
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Affiche avant la lettre n.120, 1970 Vendu
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Hibou I, 1970 Vendu
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Hibou II, 1970 Vendu
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Hibou III, 1970 Reserved
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Hibou IV, 1970 Vendu
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Hibou IX, 1970 Vendu
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Hibou VI, 1970 Reserved
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Hibou VII, 1970 Reserved
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Hibou-Nid, 1969-1970, fonte 2010 Vendu
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Les Oies, 1989 Vendu
Jean Paul Riopelle (Canadien, 1923-2002) était un membre éminent du mouvement expressionniste abstrait européen. Né à Montréal, Riopelle a étudié la peinture traditionnelle et avant-gardiste, avant d’embrasser pleinement l’avant-garde à la fin des années 40 et de se joindre au groupe canadien Les Automatistes, influencé par le surréalisme et leur pratique de l’automatisme. Riopelle s’installe à Paris en 1949 et peint des compositions abstraites et ouvertes le plaçant au milieu d’une «deuxième génération» de peintres expressionnistes abstraits en Europe. Il a créé sa série d’œuvres «mosaïques» dans les années 1950, en utilisant une palette pour enduire la peinture sur la toile en blocs de couleurs juxtaposées.
Pendant plusieurs décennies,
Riopelle a eu une relation forte mais turbulente avec son collègue peintre abstrait Joan Mitchell, qui a pris fin en 1976. Ses peintures sont devenues encore plus lâches et plus libres, et il a commencé à explorer d’autres médiums, y compris la gravure, le collage et la sculpture. Il a créé plusieurs sculptures à grande échelle en 1969, dont une fontaine rendant hommage aux joueurs de hockey canadiens qui est maintenant exposée au Stade olympique de Montréal. Riopelle revient régulièrement au Canada dans les années 1970, créant des œuvres s’inspirant des paysages canadiens. Plus tard, il a continué à expérimenter des méthodes de peinture non conventionnelles, notamment la peinture en aérosol et l’accent mis sur l’espace négatif.
En 1962, Riopelle expose des œuvres à la Biennale de Venise et obtient le prix UNESCO. Plusieurs rétrospectives de son œuvre ont eu lieu, notamment des expositions au Centre Pompidou à Paris et au Musée des beaux-arts de Montréal. Riopelle a passé ses dernières années à vivre au nord du Québec à Île-aux-Grues, Canada; il est décédé en 2002, à 79 ans.